Axe DevSENCEA : Développement socio-émotionnel et neuro-cognitif de l’enfant, de l’adolescent et de l’adulte

Axe DevSENCEA : Projets scientifiques 2025-2030

Responsable : R. Miljkovitch (PR)

Membres titulaires : A.-S. Deborde (PR), M. Kostova (PR), F. Morange-Majoux (MCF-HDR), C. Beauvais (MCF), C. Guérini (MCF), M. Hansen (MCF), J.-C. Houillon (PAST), J.-M. Meunier (MCF), A. Sirparanta (doctorante contractuelle), C. Toléon (doctorante contractuelle), S. Vanwalleghem (MCF)

Membre associée : D. de Terrasson (psychologue)

Doctorants : (4 thèses soutenues)

S. Ahmad, S. Awad, S. Ben Mahdi, L. Benali, I. Bogicevic, L. Cuevas Cerna, S. Bouyaed, S. Corre-Taalba, C. Da Silva, C. Danner Touati, M. De Summa, M. El Tawil, H. Guez, M. Hindenoch, L. Kheirallah, E. Lavoitte, A. Lesénécal, F. Marmonier, M. Montevil, N. Pfeiffer, S. Pesovar, E. Potier, E. Raccah, L. Rodier, E. Rozier, A. Sirparanta, C. Spor, C. Toléon, N. Uwineza.


Une partie significative des travaux au sein de l’axe porte sur la relation parent-enfant. Or, à l’heure où l’usage problématique des écrans par les enfants et les adolescents constitue une préoccupation sociétale majeure, nous avons le projet d’examiner la manière dont les pratiques parentales peuvent venir prévenir ou bien accentuer ce type de problématique. 

Le travail déjà entamé sur la manière dont les jeunes traitent et gèrent les informations sur internet sera poursuivi, notamment au regard des fake news, ou de la protection de la vie privée. Plus largement, la manière dont l’âge ou le niveau de développement orientent la manière dont les écrans impactent l’individu sera examinée. 

La frontière entre le réel et l’imaginaire peut, chez certaines personnes fragiles, être d’autant plus ténue que le numérique expose à des images de plus en plus réalistes. À cet égard, les connaissances sur la schizotypie et la schizophrénie et sur les facteurs de risque développementaux, notamment en matière de cognition sociale, peuvent être intéressants à mettre en relation avec la question du décrochage vis-à-vis du réel. 

Plusieurs travaux au sein de l’axe gravitent autour des questions de violences et de conduites agressives. Nous avons le projet de poursuivre ces travaux visant à mieux comprendre les phénomènes à l’origine de comportements malveillants, en particulier dans le domaine du cyberharcèlement. L’étude de l’impact du cyberharcèlement et de facteurs de protection est d’ores et déjà en cours.